jeudi 7 août 2008

A quoi peut vous servir un réseau ?

Voici un extrait du livre de Mark V. Hansen et Robert Allen : « Réveillez le millionnaire qui est en vous » :

« Vous pouvez devenir riche grâce à vos réseaux. Chaque personne qui a accédé à la richesse, s’est construit un carnet d’adresses bien garni.
Vous le pouvez vous aussi. Les gens de réseaux développent et entretiennent des relations qui leur procurent de l’information, du soutien, des conseils, des références, des ressources. Ils sont en mesure de joindre qui ils veulent, quand ils le veulent.

Pour faire de grosses sommes d’argent rapidement, vous devez être en relation avec des personnes qui génèrent des résultats positifs rapidement, efficacement et continuellement. Lee Iaccoca est devenu le président de la compagnie Chrysler au moment où elle était pratiquement en faillite. Il possédait une liste de 200 personnes du milieu de l’industrie et de l’automobile. Il savait à qui s’adresser pour vite remettre Chrysler sur les rails. Son carnet d’adresses a été la clé qui lui a permis d’obtenir immédiatement d’excellents résultats. Suivez son exemple et commencez à bâtir votre carnet d’adresses qui vous fera devenir riche dans votre domaine.

[…]

Faites-vous apprécier. Donnez une poignée de main qui se distingue, établissez un contact visuel magnétique, ayez une présence radieuse. Acceptez joyeusement de servir dans un seul souci de servir. Aidez quiconque peut vous aider. Faites-en toujours un peu plus et faites en sorte que l’univers vous soit redevable. Créez des relations qui ne s’effriteront pas, mais qui s’approfondiront avec le temps. Gardez le contact en personne, par téléphone ou par télécopieur. Organisez des sorties, des réceptions, des évènements, des séminaires auxquels vous inviterez vos clients et vos amis.

[…]

Dressez la liste de 200 personnes que vous désireriez rencontrer, avec qui vous voudriez passer du temps et évoluer, à qui vous aimeriez parler, que vous souhaiteriez imiter et même dépasser. La rapidité avec laquelle vous vous synchroniserez avec ces gens vous étonnera. Vous ferez automatiquement partie du Bottin mondain par association. Dans les relations, l’important ce sont les gens que vous connaissez, les gens que ces gens connaissent et les gens qui vous connaissent. Devenez une personne connue. Créez-vous une bonne réputation, qui inspire confiance, qui appelle le respect et l’admiration. Votre but est d’offrir une contribution significative et un réseau solide vous aidera en ce sens.
Commencez dès maintenant à le bâtir, que vous soyez prêt ou non. »


Pour vous bâtir vous aussi, un bon réseau, cliquez vite ici : http://url-ok.com/377c54

mardi 12 février 2008

Emile Coué : le père de l’autosuggestion

Vous avez certainement entendu parler de la Méthode Coué, dont Dany Boon a fait un sketch hilarant : « Je vais bien, tout va bien ! ». En fait, cette méthode prône que si on se persuade que l’on est heureux, on sera heureux.

Elle a été inventée, précisément, par Emile Coué. Il est né à Troyes en 1857. Issu d’une famille modeste, il n’a pas les moyens de suivre de longues études. Sa volonté de devenir chimiste est ainsi contrariée. Toutefois, grâce à un pharmacien de Troyes, il est embauché comme commis et reste proche de la chimie. Il obtient son diplôme de pharmacien en 1882 et s’associe pour reprendre une pharmacie à Troyes.

Progressivement, il élabore sa Méthode dans sa pharmacie, prenant très vite conscience qu’il peut avoir une influence sur la guérison de ses clients. Il développe ainsi le principe de l’autosuggestion avant de s’intéresser à l’auto-hypnose. A partir de 1910, il s’installe à Nancy et y donne des consultations gratuites.
Ses travaux restent confidentiels au début mais Charles Baudouin (étudiant en philosophie), ayant entendu parler de lui, va devenir son premier disciple et il va surtout le faire connaître dans le monde entier grâce à la publication de sa thèse.
A partir de ce moment-là, Emile Coué fera des conférences un peu partout, notamment aux Etats-Unis, en Allemagne et en Russie. Il y connaît un succès important, amenant à Nancy de nombreux clients étrangers.
Toutefois, il sera très vite taxé de charlatanisme et il préférera « se faire oublier » en voyageant aux Etats-Unis, en 1923, où la foule l’attendra avec enthousiasme.
Il sera surtout reconnu aux Etats-Unis et en Allemagne, la France ne le reconnaîtra jamais à sa juste valeur.

Grâce à ses travaux, Emile Coué est à l’origine de la pensée positive, de la visualisation, de la sophrologie, etc.
Il a mis en lumière le fait que l’individu dispose d’un conscient et d’un subconscient, qu’il peut influencer son subconscient grâce à l’imagination, la visualisation. Cette influence peut avoir un effet négatif mais aussi positif : si l’on veut quelque chose, il suffit de se l’imaginer. Ainsi, quand on est malade, il suffit de penser à la guérison pour y parvenir.
Au départ sa Méthode n’avait pour but que de rendre les médicaments plus efficaces.
Il est aussi le premier à avoir eu l’idée d’utiliser un placebo pour guérir un patient.

Juste avant sa mort, en 1926 à Nancy, il publie « La Maîtrise de Soi-Même par l’autosuggestion consciente », dont le leitmotiv est le suivant : « Ce n’est pas la volonté qui nous fait agir, mais l’imagination ». Puis, après sa mort, sa Méthode périclite et finit par ne plus être suivie.

Il faudra attendre l’essor du développement personnel, notamment aux Etats-Unis, pour la remettre au goût du jour, en la mariant avec les nouvelles idées de l’époque.
Ainsi, une sorte de nouvelle Méthode Coué apparaît, qui précise que les personnes ont la faculté de s’auto-persuader ou s’auto-suggérer qu’elles sont capables d’apprendre, de comprendre et de faire tout ce qu’elles désirent ; et qu’il suffit de s’imaginer ou de se visualiser en train de le faire.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

Pour vous aider à changer votre état d’esprit et chassez définitivement le mal-être,
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Le mal-être n’est pas une fatalité !

lundi 9 juillet 2007

Orison Swett Marden, l’homme qui a révolutionné le Développement Personnel

Orison Swett Marden, créateur de la Revue Success, est considéré comme le fondateur du Mouvement moderne du Succès en Amérique. Il est à l’origine des nouvelles théories du succès rendues populaires par les auteurs de best-sellers comme Napoleon Hill, Clement Stone, Dale Carnegie, Og Mandino, Earl Nightingale, Norman Vincent Peale, Stephen R.Covey, Anthony Robbins et Brian Tracy.

Qui était Orison Swett Marden ?

Fils de parents modestes, il est né dans une ferme de la Nouvelle Angleterre en 1850. Il a perdu ses parents à l’âge de 7 ans. Il a été placé dans de multiples familles d’accueil où il a été battu et traité comme un esclave. Pourtant, malgré un début de vie plutôt catastrophique, il s’est toujours démené pour avoir une bonne éducation.

Dans ses livres, Marden s’est beaucoup inspiré de sa propre vie. Il sait parfaitement de quoi il parle, sa vie ayant été jalonnée de tragédies dès son plus jeune âge.
Son objectif était de devenir un jour le maître de son propre destin.
Sa devise était d’ailleurs la suivante : « Aucune excuse ! Je trouverai une solution ou j’en inventerai une ».
Il a ainsi vécu sa vie sans jamais se trouver d’excuses. Il a suivi ses études de manière sérieuse et disciplinée, il s’est donné à fond à son travail et s’est fait un point d’honneur de partager ses revenus et d’encourager les autres à aller de l’avant - en dépit de tous les obstacles.

« Les obstacles vous paraîtront grands ou petits selon que vous serez grand ou petit»

Le premier livre de Marden, Pushing to the Front (que l’on peut traduire par « Aller de l’avant ») a été édité en 1894, et a eu beaucoup de succès. En 1897 il a fondé la Revue Succes, qui a atteint des tirages énormes pour cette époque, presque 500 000 exemplaires correspondant à peu près à 2 à 3 millions de lecteurs. La revue a fini par connaître des difficultés financières et a été suspendue en 1912. Mais, de nouveau, en 1918, il a fondé une nouvelle Revue Succes qui a connu une ascension fulgurante jusqu’à sa mort en 1924.

Ses livres ont pour thèmes principaux l’optimisme et la motivation. À sa mort, il avait écrit en moyenne deux livres par an, de son premier en 1894 à son dernier en 1924, et il restait encore des manuscrits non publiés

Les spécialistes actuels du développement personnel continuent de faire référence à l’œuvre exceptionnelle de Marden. Les leçons de vie, les histoires inspirantes et les exemples de succès malgré les difficultés qu’il raconte dans ses nombreux livres, sont vraiment fabuleux.

Orison Marden est un homme qui a basé toute sa vie sur le bonheur et l’accomplissement de soi. Il a encouragé d’autres personnes à prendre la pleine responsabilité de leur propre bonheur, à prendre leur vie en mains. Et il a souvent fait remarquer que l’on est seul responsable de son bonheur.
Marden soutient, comme les grands Philosophes, que le bonheur est un état d’esprit, qu’il ne dépend pas de l’extérieur, et qu’il est présent dans chaque être humain.

« L’occasion en or que vous cherchez est en vous-même. Elle n’est pas dans votre environnement ; elle n’est pas dans le hasard ou dans la chance, ou dans l’aide des autres ; elle est seulement en vous. »

Pour plus d’informations, retrouvez l’article complet sur le site : http://www.katisa-editions.com rubrique « Grands Personnages ». De plus, vous pouvez y télécharger gratuitement un des ouvrages d’Orison Swett Marden : « Comment Concentrer Vos Énergies Pour Atteindre Vos Buts », rubrique « Cadeaux gratuits ».

samedi 16 juin 2007

Peace Pilgrim : une femme de paix

Peace Pilgrim (Pèlerin de la Paix), de son vrai nom est Mildred Lisette Ryder, est née le 18 juillet 1908 aux Etats-Unis, dans une petite ferme du New Jersey. Elle est l’aînée d’une famille de trois enfants. Ses parents, considérés comme « libres-penseurs », lui ont inculquée, dès son plus jeune âge, des valeurs comme la paix. Ils abordaient volontiers les questions sociales et politiques.
Mildred était une surdouée, sachant réciter de longs poèmes à 3 ans, jouant du piano après seulement six mois de leçons. Elle est devenue ainsi une très bonne élève. Elle a occupé un emploi de secrétaire et s’est mariée en 1933. Elle a refusé que son mari aille à la guerre en 1942. Ils ont finalement divorcé en 1946.

En 1938, elle a eu une sorte de révélation après avoir marché toute la nuit dans les bois. Elle a su, à ce moment précis, qu’elle devait donner sa vie, elle ne savait pas encore à quoi mais c’était déjà ancré au plus profond d’elle-même.
Après avoir travaillé pour aider des vieillards, dans des organismes militants pour la paix, tout en effectuant un travail spirituel de 15 ans, tout en se débarrassant de ses biens matériels, elle a fini par trouver la paix intérieure, celle qui donne la force et le désir d’aider les autres, d’être à leur service et de faire le don total de soi.

Elle sera désormais une militante pacifiste !
A partir du 1er janvier 1953, pour diffuser son message de paix au plus grand nombre, elle a décidé de traverser à pied les Etats-Unis du Nord au Sud durant l’hiver et du Sud au Nord à l’arrivée des beaux jours. La Guerre de Corée, la Guerre du Vietnam ont largement inspiré sa démarche.
Elle voyageait sans bagages et sans le moindre argent : pour seule richesse, elle portait une tunique bleu sur laquelle était écrit devant : « Peace Pilgrim », et derrière : « 25,000 miles on foot for peace » (25000 miles à pied pour la paix).
Elle a parcouru ainsi les Etats-Unis durant 28 ans, ne manquant de rien. Sans soutien d’aucun organisme, elle était aidée, nourrie, hébergée par les gens qu’elle rencontrait.
Son but était d’aller à la rencontre du maximum de personnes pour leur parler de paix, de paix entre les nations, de paix entre les gens, de paix intérieure. Pour elle, c’est cette dernière qui permet d’atteindre les autres paix.

Bien entendu, les personnes qui entendaient parler d’elle, de ses longues marches, pouvaient la prendre pour une folle. Mais ceux qui la rencontraient, en chair et en os, ne pouvaient qu’être subjuguées par ce personnage hors du commun qui a fait, en quelque sorte, le sacrifice de sa vie pour proclamer la paix dans le monde. Elle a fait des adeptes dans le monde entier.
Malheureusement, son septième pèlerinage s’est achevé brusquement le 7 juillet 1981, dans un accident de voiture alors qu’elle allait prononcer un discours dans l’Indiana. Son œuvre continue grâce aux Amis de Peace Pilgrim.


La façon dont elle a effectué son travail intérieur est décrite de manière précise dans « Etapes vers la Paix intérieure », document que vous pouvez télécharger gratuitement sur http://www.katisa-editions.com . La lecture des préceptes de vie de Peace Pilgrim ne peut laisser personne indifférent. Cela nous fait réfléchir...


Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

samedi 26 mai 2007

Bienvenue

Sur ce blog vous trouverez très prochainement des Histoires de Succès.
Nous vous raconterons la vie de personnalités ayant connu le succès.